Gazette n°15

L'équipe des journalistes et correcteur est heureuse de vous présenter la quinzième Gazette des écuries !

Sommaire :

I Rubrique Equitation

Race de cheval
> Le Westphalien, par Bulle-De-Savon
> Le Frison, par Perle de feu
> Le Skyros, par Lilizounette
> Le Falabella, par Bonbon123
Métier équestre
> Photographe équin, par Bulle-De-Savon
Autres
> Histoire équestre, par Lilizounette
> Le saviez-vous ?, par Perle de feu

II Rubrique Divers

Recette
> Lasagne italienne, par Tutti-Fruti
Jeu vidéo
> Kingdom Hearts, par Erynn
Littérature
> La princesse Mia, par Cocciinelle
> Antonien, le chevalier de Narnia, par Pupuss
Cinéma
> L’homme, c’est elle, par Brownies
Sport
> Adam Malysz, par Mamouth2
Autre :
> Image de la semaine, par P’tit Loup
> Site de la semaine, par P’tit Loup
> Portrait de ma tante, par _Zoé_

III Les coulisses de Monchval

Interview
> Interview de Nikky 74, par Pinko,
Histoire
> Le fantôme de Monchval, par X-Fan
> Histoire de Monchval, par chloelippine

IV Artistes en herbes :

Poème
> Poème de P’tit Loup
> Poème de Mamouth2
> Poème de Zeneli
> Poème de pouët!
Dessin
> La robe louvet, par Erynn

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I Rubrique Equitation

Race de cheval, par Bulle-De-Savon

Le westphalien

Comme la plupart des autres races allemandes de demi-sang, le westphalien doit son nom à sa terre natale, la Westphalie, au nord du pays. Les éleveurs locaux cherchèrent d'abord à produire dans cette région verdoyante des chevaux lourds, destinés aux travaux des champs et à l'attelage. Dans les origines lointaines de ce campagnard, on trouve du sang norfolk, hackney et anglo-normand. Divers mélanges donnèrent un type mi-lourd, produisant des carrossiers puissants, mais vifs et rapides. La race, sélectionnée principalement au haras de Warendorf, était très appréciée aux XVIIIème et XIXème siècle car elle servait de remonte à l'armée. Dès 1826, se créa l'association des éleveurs de westphaliens. Celle-ci regroupait tous des cavaliers convaincus qui croyaient en la carrière de ce cheval imposant et sûr.

A la fin du XIXème siècle, les producteurs apportèrent une nouvelle touche à la race afin de l'améliorer : ils croisèrent leurs chevaux avec des oldenbourgs, solidement charpentés, mais disposant d'un bon influx nerveux. En 1904, le stud-book du westphalien fut ouvert : pour y être inscrit, le sujet devait être né dans le terroir et issu d'une jument enregistrée. Vers 1920, les éleveurs changèrent leur fusil d'épaule et introduisirent massivement du sang hanovrien dans leurs élevages. Ce cocktail fut complété par une touche de sang anglais au lendemain de la Seconde guerre mondiale.

Sous l'effet d'une sélection rigoureuse, le westphalien se métamorphosa peu à peu en superbe athlète. Tête expressive au front large, encolure bien dessinée et greffée sur un poitrail profond, dos soutenu, arrière-main puissante, membres remarquablement sains... Dans sa robe alezane ou baie, parfois noire ou grise, le westphalien devint vraiment beau à regarder ; son allure générale est athlétique, déliée et bien charpentée.

Grand sportif, spécialiste du saut d'obstacle et du dressage, il est aujourd'hui l'un des chevaux les plus recherchés dans le domaine de la compétition. La liste des champions issus de Westphalie est impressionnante. En dressage, citons Rembrandt (double champion olympique sous la selle de Nicole Uphoff) et Ganimedes (monté par Monica Theodorescu). On se souvient de Priamos, monté par D. Hafemeister, de Pamina, la grande jument d'Otto Becker, ou de Corso, le gris du Suisse Willy Melliger. Elégant, puissant, intelligent, courageux, doté de calme et de sang-froid, le westphalien, du haut de son 1,68 m au garrot, peut regarder l'avenir avec confiance.

Comment le reconnaître ?

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● Taille :
1,60 à 1,68 m.

● Robe :
Le plus souvent alezane ou baie, parfois grise ou noire.

● Epaule longue et oblique

● Canons courts

● Pieds durs et bien conformés

● Articulations larges et solides

● Croupe assez plate

● Dos soutenu, de longueur moyenne

● Front large, bien rectiligne

Race de cheval, par Perle de feu

Le frison

Gazette n°15 Frison

Ses caractéristiques

Ce qui démarque en premier le Frison des autres races, c’est sa morphologie hors du commun, à mi-chemin entre le cheval à sang froid et le cheval à sang chaud. Il possède des caractéristiques physiques et un tempérament proches du cheval de demi-trait ainsi que l’élégance et les allures des chevaux de races ibériques.

Son histoire

Le cheval Frison est l'une des races équines les plus anciennes au monde, elle est restée quasiment pure durant toute son histoire.
C'est la seule race indigène des Pays-Bas.

Ses origines

En Europe, à l’époque glacière vivaient deux espèces de chevaux. L’un était de petite taille, l’equus Gmelini ou tarpan, l’autre était plus grand, l’equus robustus également nommé equus occidentalis ou grand cheval occidental. Il semblerait que le cheval frison descende de ce dernier.

Ses aptitudes

Il ne s’agit pas d’un cheval complet mais il est tout de même polyvalent. Le Frison peut se distinguer dans certaines disciplines car il est robuste, élégant et bien dans sa tête.

Race de cheval, par Lilizounette

Le Skyros

Les habitants de l’île de Skyros, dans la mer Egée, affirment que le Skyros est un petit cheval, non un poney. Il est vrai que cet animal rustique et résistant présente les proportions d’un cheval. Cependant, sa taille, qui ne dépasse pas 1.20 m, le classe parmi les poneys.

Type et tempérament
Rustique avant tout, le Skyros est un poney de travail doué de force et de résistance.

Modèle
Le Skyros est proportionné comme un cheval plutôt qu’un poney. La tête est petite et agréable, avec un front bien large et des yeux en amande encadrés par deux oreilles bien mobiles. L’encolure, assez longue, est plutôt fine, parfois un peu creuse. L’épaule est droite, le garrot souvent noyé, le dos solide. La croupe est brève, souvent avalée, et manque de puissance. Les membres sont fins, et les articulations peu épaisses. L’ossature dans son ensemble manque d’ampleur. Les jarrets sont souvent clos. Les pieds, faits d’une corne noire, sont très durs.
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Robe
Alezane tirant parfois sur le louvet ou le bai, la robe du Skyros comporte souvent une raie dorsale et des zébrures sur les membres, qui évoquent beaucoup le tarpan.
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Taille
1,10 m en moyenne ; les éleveurs cherchent à produire des sujets plus grands (jusqu’à 1,20 m).

Tempérament
Le Skyros est un poney placide et soumis, mais énergétique et de bonne volonté au travail. C’est un compagnon doux et agréable pour les enfants, qui plie de bonne grâce au contraintes de l’instruction.
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Race de cheval, par Bonbon123

Le Falabella

Un élevage de Falabellas
Le Falabella est une race unique de chevaux qui a acquis, après de nombreuses générations de sélection, des caractéristiques spécifiques de taille et de proportion, tout en gardant l'esprit "cheval", c'est-à-dire sans prendre l'attitude et le caractère du poney ou Shetland.
Le Falabella tire son origine d'une famille d'éleveurs qui, au milieu du 19ème siècle, a développé et produit cet élevage en Argentine.
Cette race est reconnue à part entière sur le continent américain et ne tardera certainement pas à l'être en Europe, ce qui n'est pas encore le cas, bien qu'elle ait déjà acquis ses lettres de noblesses sur le vieux continent.

Origine
Les paléontologues ont identifié sur le continent américain le fossile d'un petit mammifère périssodactyle, l'hipparion, ayant vécu au tertiaire. Ce petit cheval ayant disparu, aucun cheval ne vécut ensuite sur ce continent avant la conquête du 15ème siècle.
Le cheval Falabella est intimement lié à l'origine des chevaux sur le contient américain, celle des chevaux Andalous, que les espagnols, lors de la conquête du du début du 15ème siècle, emmenèrent avec eux et qui durent survivre livrés à eux-mêmes après l'insuccès de certaines expéditions.
Les chevaux subirent alors une série de mutations structurelles dues à l'impératif d'adaptation à un climat rude et inconstant des régions des Pampas.
Si l'on observe les chevaux de race Criollo, sur la base de différents ancêtres, il n'est pas déraisonnable de supposer que, en presque 400 ans, des changements morphologiques importants aient permis d'en arriver à une réduction harmonieuse des proportions des chevaux espagnols pour en arriver à ce qui est actuellement le Falabella. Cela paraît être même l'explication la plus plausible. Donc, selon cette théorie, le Falabella n'aurait pas été créé de toute pièce par l'homme, mais serait bel et bien le fruit d'une mutation logique liée à l'adaptation dans le milieu de vie et une résurgence du miniature d'origine. Bien sûr, la famille Falabella a su maintenir cette particularité de ce cheval miniature et en stabiliser la mutation, ce qui fait qu'aujourd'hui, le Falabella maintient ses caractéristiques en reproduction.
Etant donné les très fortes chaleurs du soleil, les vents très froids du Sud Ouest (le Pampero), les terribles tempêtes fréquentes de la région, l'aridité de la lande, le cheval a été obligé de couvrir de grandes distances pour s'abreuver et trouver sa pâture. Souvent, les chevaux devaient fuir les Indiens de la région et les pumas. Tous ces facteurs ont sûrement engendré des mutations génétiques qui se sont transmises aux générations successives.
C'est ce type de chevaux que M. Newtall, un irlandais installé en Argentine, a vu pour la première fois en 1845 dans un troupeau d'Indiens Tehuelches dans la région du sud de la Province de Buenos Aires. Grâce à son savoir faire et ses relations, M. Newtall a réussit à obtenir des Indiens le droit de posséder quelques spécimens de ces chevaux miniatures.
Après de nombreuses années de sélection, il réussit à réunir un troupeau de chevaux parfaitement conformés, un tempérament "cheval" mais avec une hauteur de moins de 80 cm. C'est son gendre, Monsieur Patrick Falabella qui continua les recherches à partir de 1868 et introduisit dans ce troupeau quelques spécimens d'un élevage d'origine Criollo et graduellement afin de ne pas nuire à l'originalité de ce qui allait devenir le Falabella, un vrai cheval miniature harmonieux en forme et en caractère stable, sociable et éducable.
Ce n'est qu'au début du 20ème siècle que le Falabella obtient, au travers d'une sélection stricte, les canons de la race actuellement reconnue.
Les établissements Falabella sont toujours actuellement dans les mains de la famille Falabella, et c'est actuellement Maria L.B. De Falabella qui a pris en charge la destinée des Etablissements Falabella. Ceux-ci ont main mise sur toute la production de Falabella dans le monde. La reproduction des Falabella est strictement contrôlée par des mandataires dans chaque pays afin que l'intégrité de la race soit préservée, ce qui fait qu'un Falabella d'origine le restera toujours au fil des générations.
Les Trésors de Nirveau respectent cette chartre d'origine et de qualité instaurée par la famille Falabella et travaillent en collaboration avec leur représentation française afin de maintenir, coûte que coûte, l'originalité et la pureté de ce cheval fantastique qui mérite largement ses lettres de noblesse.

Le Falabella des Trésors
Le Falabella est un cheval de race qui a conservé tous les traits et attributs des ses congénères de grande taille. La fixation de ses caractères génétiques permet sa reproduction naturelle, les descendants conservant les caractéristiques "cheval" miniature en caractère et en proportion. Différent des autres sortes de miniatures dont la plupart ne transmettent pas leur petite taille et conformation à leurs descendants, il n'est pas nécessaire d'user d'artifices ou de manipulations lors de la gestation pour arriver à maintenir la pureté du Falabella et sa taille d'origine. Nous bénéficions ainsi d'une stabilité génétique qui fait la renommée du Falabella dans le monde entier.
La taille moyenne d'un Falabella est de 72 cm au garrot pour un adulte. Toutefois, il n'est pas rare qu'ils ne dépassent pas les 60 cm et certains mêmes peuvent descendre en dessous de 50 cm au garrot.
Evidemment, plus il y a de couleur (blanc, pommelé, pie, etc.) et plus la taille est miniature, plus le poulain aura de la valeur, tant pour l'éleveur qu'à la revente. Mais ceci est parfaitement compréhensible en sachant que les Falabellas sont tout de même rares et que, plus ils sont exceptionnels, plus l'intérêt est grand.
Le Falabella est, du fait de sa reproduction entièrement naturelle, hyper rustique et ne demande pas de soins particuliers. Il résiste aux climats les plus rudes : le froid, le chaud, l'humidité, le vent, etc. Tous ces changements climatiques ne lui posent aucun problème tant qu'il a un arbre ou un abris pour se protéger. Ils n'ont besoin d'aucune alimentation particulière, bien moins en tous les cas que les chevaux de grande race.

Pour avoir un Falabella, il faut prévoir :
- 1000 m2 par cheval (contre 1 ha pour un cheval de grande taille)
- un peu de foin l'hiver (30 euros env.)
- une vaccination annuelle (50 euros env.)
- 2 vermifuges par année (20 euros env.)
- 1 bon parage de pieds par année (20 euros)
- beaucoup de câlins et d'affection (gratuit)

Que peut-on faire avec un Falabella et que nous apportent-ils ?
- Vous pouvez économiser un tracteur tondeuse qui vous coûtera plus cher que votre miniature et qui vivra moins longtemps.
- Les enfants peuvent le monter (maximum 30 Kg).
- Vous pouvez l'atteler ; il adore cela et on peut aisément aller se promener avec une charrette ou un Sulky adapté à sa taille.
- On peut le promener comme un chien de compagnie. Ils vous suivent sans soucis, ne sont ni fugueurs, ni caractériels et au contraire vous apporteront de grands plaisirs lors de randonnées ou de simples promenades. La plupart du temps, sans licol ni longe, il vous suit vraiment comme un chien.
- Les Falabellas apportent beaucoup aux enfants, ils sont utilisés pour les enfants handicapés comme pour les biens portants, ne serait-ce que pour leur apprendre le respect, la responsabilisation, pour développer la socialisation de l'enfant, etc. C'est un vrai remède contre le stress et pour remettre les enfants, voire même les adultes, en confiance.

Métier équestre, par Bulle-De-Savon.

Photographe équin

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Bien qu'il soit passionnant, le métier de photographe équin est difficile car il exige du talent mais aussi de l'organisation. Pour de bonnes prises de vue, il faut être très mobile à la fois physiquement, mais aussi géographiquement.

Il existe deux types de photographe équin : il y a ceux qui vendent leurs photos aux particuliers, et il y a ceux qui travaillent pour les médias.

Les revenus peuvent être très importants pour les quelques personnes qui ont réussi à devenir indispensables pour les rédacteurs des grands magazines équestres.

Il faut savoir que les photographes de presse spécialisés dans le cheval n'existent pratiquement pas : ce sont souvent les journalistes qui font eux-mêmes les photos ; ou bien parfois, elles sont achetées par les rédacteurs dans des agences de presse.
Il n'y a pas de formation spécifique : on peut éventuellement s'inscrire à l'école Louis-Lumière mais presque tous les photographes équins sont formés sur le tas.

Quelques informations sur l'école Louis-Lumière :

L'École Louis-Lumière, ou École nationale supérieure Louis-Lumière, est une école supérieure de l'enseignement public français où sont enseignés les divers métiers de la photographie, du cinéma et du son. Elle a été créée en 1926, sous l'impulsion de personnalités du cinéma comme Louis Lumière ou encore Léon Gaumont.
L'école comprend trois filières :
► Photo
► Cinéma
► Son
L'enseignement délivré en trois ans est à la fois technique et artistique. Il forme des photographes et des techniciens de laboratoire, des directeurs de la photographie... ou encore quelques réalisateurs, monteurs, producteurs, journalistes.

Histoire équestre, par Lilizounette

Courrier du cœur : le rapport du cheval ou du poney que l’on aime …

Dans chaque écurie, on trouve un chouchou : parce qu’il est beau, gentil, etc. et si en plus on l’a monté, il est très certainement bon.
Pendant une semaine, deux semaines, moins ou plus, on s’y attache. Quand le jour où on doit partir arrive, on garde comme souvenir « je ne le reverrai plus jamais » et on oublie les bons moments passés avec lui et le reste de l’écurie.
Tout le monde subit ça. On peut toujours imaginer un miracle qui ferait qu’on LE reverrai par hasard.
Que pourrait-on faire pour faire disparaître ce supplice de la vie ?
La question que tout le monde se pose. Moi-même, j’ai souvent subi cela. Tout d'abord, j'ai dû quitter ma petite Pimprenelle qui a certainement rejoint le paradis des poneys. Ensuite, ce fut pareil avec Tété, P’tit Louis, Impérial, Nougatine, Le Voilà que je revois heureusement 1 fois par an. Il y a aussi eu Booster et Hercule. Puis maintenant, pour mon plus grand regret Nobel, Merveille et Boléro. Nobel est un grand hongre que je n’ai jamais monté, mais qui me faisait de gros câlins, un magnifique cheval. Quant à Merveille, c'est une Pottock baie brune avec de grandes oreilles qui me font penser à celles d'un âne, je l'ai montée en balade, pour le saut et pour d’autres choses encore. Pour finir, il y a Boléro, ce beau cheval bai brun, que je regardais chaque jour dans le pré et qui part à présent à la retraite.
Il ne faut surtout pas effacer les souvenirs avec nos amours, mais penser aux bons moments passés ensemble. Moi-même, je n’arrive pas à m'ôter la pensée que Nobel était un amour et que je ne le reverrai peut être jamais, mais j’essaie.
Ma petite Réglisse (ma chatte) me console quand même avec son petit miaulement.
Cet article est dédié à tous mes petits chéris. Il n’est peut-être pas intéressant pour vous mais pour moi, il compte beaucoup.
PS : si vous avez des astuces pour m’empêcher de ruminer mes souvenirs, dites-le moi par Message Privé !

Le saviez vous ?, par Perle de feu

Classification du cheval

Règne des Animaux (Animalia)
Embranchement des C(h)rodés (Chordata)
Sous-embr. des Vertébrés (Vertebrata)
Classe des Mammifères (Mammalia)
Sous-classe des Thériens (Theria)
Infra-classe des Euthériens (Eutheria)
Ordre des Périssodactyles (Perissodactyla)
Famille des Equidés (Equidae)
Genre Equus.

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II Rubrique Divers

Recette, par Tutti-Fruti

Lasagne italienne

Ingrédients :

- 1 oignon émincé
- 350 g de bœuf haché
- 1 c. à s. d’huile
- 500 g de sauce bolognaise
- Sel, poivre
- 25 g de beurre
- 25 g de farine
- 30 cl de lait
- 275 g de mozzarella en tranche
- 175 g de feuilles de lasagne
- 25 g de parmesan râpé

Préparation :

1. Faites revenir l’oignon et la viande 5 minutes dans l’huile chaude. Laissez mijoter pendant 20 minutes à couvert. Rectifiez l’assaisonnement.

2. Préchauffez le four à 180°C (th.6). Chauffez le beurre. Ajoutez la farine et remuez le tout 1 minute. Ensuite, versez le lait et laissez épaissir en remuant. Salez et poivrez cette béchamel.

3. Versez un tiers de la sauce à viande dans un plat à four. Couvrez d’un tiers de la mozzarella, puis d’un tiers de feuilles de lasagne. Recommencez deux fois cette opération. Couvrez le tout de béchamel, parsemez de parmesan et enfournez 45 minutes.

Astuce et accompagnement :

Choisissez des feuilles de lasagne précuites : vous gagnerez du temps et vos lasagnes se tiendront mieux.
Vous pouvez accompagner votre lasagne par une salade composée.

Bon appétit à tous !

Jeu vidéo, par Erynn

Kingdom Hearts

Gazette n°15 Kihep20a

Plusieurs ont déjà entendu parler de ce jeu video. Il s’agit en fait d’un projet commun entre Squaresoft (Final Fantasy) et Disney. Ce jeu d’aventure/action, sorti en Novembre 2002, a su conquérir le cœur des fans sur PS2 puisque c’est la console où il a dominé, bien qu’une version soit sortie sur la GBA. Voyons tout d’abord quelques détails techniques.

Gazette n°15 Kingdom_hearts_box_art

Tiré de Jeuxvideo.com

Editeur : Sony
Développeur : Squaresoft
Type : Aventure/Action
Support : DVD
Multijoueurs : non
Sortie : 20 novembre 2002
Version : voix et textes en français (pour la version Française, bien entendu)

Gazette n°15 12mu1

Tout d’abord, ce qui m’a rapidement attirée vers ce jeu, c’est le fait que je sois une fan inconditionnelle de Disney. J’étais déjà enthousiaste de pouvoir côtoyer Belle, Donald, Tarzan, etc. mais en voyant le jeu, c’était bien plus que ça.

Gazette n°15 S35976a7qaq

Un bref petit résumé de l’histoire pourra très probablement piquer votre curiosité. Vous incarnez Sora, un jeune garçon qui habite sur une île et qui rêve d’aventure, quand soudainement votre vie change. Une brèche s’ouvre entre votre monde et les autres mondes… mais ces autres mondes sont ceux de Disney! Vous devrez alors combattre les ombres qui dévorent les mondes en parcourant ceux-ci afin de fermer chaque brèche.

Le gameplay est très facile. Rapidement, on a toutes les commandes en main, rien de bien compliqué. L’histoire est accrochante, on a envie de rester des heures devant sa console pour savoir la suite, savoir si le monde sera dévoré ou si vous pourrez le sauver à temps.

Du point de vue des graphismes, il est évident que l’on doit prendre en considération le fait que ce jeu est basé sur des dessins animés. Par le fait même, les graphismes ne sont pas au « top » de la console. Cependant, on s’y fait très vite. Les dessins sont enfantins, ce qui en fait un jeu d’une valeur certaine autant pour les petits que pour les grands. Les vidéos que l’on peut écouter à diverses reprises pendant le jeu sont tout simplement sublimes, similaires aux vidéos que l’on pouvait observer dans les Final Fantasy. Rien d’étonnant, de la part de Squaresoft.

Gazette n°15 51gu

Pour ce qui est de la musique, rien d’accrochant, elle est là pour supporter le tout mais on a vite fait de l’oublier puisqu’elle change selon le royaume où l’on se retrouve.

En conclusion, c’est un excellent jeu que je conseille à tout le monde. Il y a même un passage qui ressemble à un jeu d’arcade avec une navette spatiale chaque fois que l’on change de royaume ! Présentement, je planche sur le second de la série. Je viens de quitter Jack Sparrow et me voilà avec Aladin… Embarquez dans l’aventure !

Gazette n°15 Shipoflies

Littérature, par Cocciinelle

La Princesse Mia

Gazette n°15 Irjopri1fb7

Je voudrais vous donner mon avis sur une série de livres merveilleux.
Ces livres sont écrits par Meg Cabot, une écrivain de talent.
Il s'agit sans aucun doute des livres concernant ''La Princesse Mia''.
Sept tomes, tous plus captivants les uns que les autres.
Personnellement, j'ai lu les deux premiers.

Ça raconte l'histoire d'une adolescente bien ordinaire, qui du jour au lendemain devient princesse ! Mia ne désire pas occuper ce statut !
Elle voudrait revenir en arrière et être celle qu'elle a toujours été.
Malheureusement pour elle, elle doit affronter la réalité, trop choquante à son goût.
Au fur et à mesure des livres, elle doit vivre avec 1001 responsabilités, en plus que celle d'être adolescente.
Sera t'elle à la hauteur ?

Les tomes racontent son évolution en tant que princesse, sous forme de journal.
On entre tout de suite dans les livres; ceux-ci contiennent en moyenne 250 à 300 pages.
Le livre contient quelques détails en couleur, ainsi que des conseils divers à adopter en tant qu'adolescente, ou même princesse (Exemple : Liste des bonnes manières).
Vous pouvez le retrouver un peu partout au prix de 8 euros.
Cette série est destinée aux jeunes en particulier, mais toute la population est invitée à le lire.

Pour vous, j'ai récupéré quelques commentaires émis sur différents sites dédiés à la lecture :

- J'ai adoré ce livre, j'ai pris beaucoup de plaisir à le lire. Ce livre est plutôt pour une fille. À la fin, je ne voulais pas qu'il se finisse !
[http://www.ac-grenoble.fr]

- Ce livre est génial ! Je l'adore et je vais prochainement avoir le deuxième tome ! Camille I. 11 ans.
- Franchement, ce livre est vraiment terrible ! J'ai 17 ans, je l'ai lu l'année dernière et j'ai adoré ! [...] Muriel F.17 ans.
[http://livres-a-gogo.be]

Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter une bonne lecture !

Littérature, par Pupuss

Antonien, le chevalier de Narnia

1er chapitre : La venue de Peter le magnifique

Notre histoire commence il n’y a pas si longtemps, pendant le règne de Peter le magnifique à Faxare, un pays aussi magique que Narnia.
Dans les bois de Faxare, se déroulait souvent des chasses à court. Notre histoire commence donc, pendant l'une de ces chasses.
Le bruit du galop rapide des chevaux et les aboiements des chiens résonnaient dans un grand bois de Faxare. Le seigneur, Lorenzo, pourchassait le cerf noir (le roi de la forêt) avec ces troupes. Cependant, cette fois-là, il y avait un cavalier de plus.
Ce cavalier était jeune, il avait des cheveux blonds foncés. Il montait un magnifique cheval gris à taches blanches. De loin, le cheval ressemblait à une flèche d’argent.
La troupe s’arrêta sur un chemin de terre. Là, plusieurs chemins ce croisaient.
- Antonien, appela le seigneur, prend une partie des troupes et suit ce petit chemin qui mène aux montagnes qui sépare notre pays de Narnia. Là, nous tendrons un piège au cerf noir. Il pointa du doigt un chemin.
Le chemin où Antonien et sa petit troupe galopaient était dégagé. Le chemin était en terre (un peu boueuse). Sur chaque coté, la forêt était verdoyante. On pouvait entendre le chant des oiseaux. Mais, ce dernier fut brouillé par le bruit des sabots des chevaux.
Les cavaliers arrivèrent au bout du chemin, ils ralentirent les montures pour qu’elles ne glissent pas. Devant eux, il y avait des montagnes ; celles-ci étaient gigantesques. Elles séparaient Faxare de Narnia. Ces deux pays étaient magiques et inconnus des êtres humains (comme nous, lecteurs).
Les cavaliers auraient dû repartir, comme les ordres du seigneur leur avaient été dit. Mais, ils mirent tous pied à terre. Devant eux, il y avait une autre troupe, mais ce n’était pas celle du seigneur de Faxare.
Le cavalier de tête montait un cheval blanc, à cru. Il était blond et grand. Ce n’était personne d’autre que le roi Peter le Magnifique. Il était accompagné de Edmund le juste, Susan la douce et Lucie la vaillante.
- Peter, c'est toi ? demanda Antonien.
- Et comment ! s'écria alors le roi de Narnia. Comment vas-tu ? Où est ton père ?
Antonien n'en revenait pas. Il n’avait vu qu’une seule fois le roi Peter en allant à Narnia avec son père. Le jeune garçon s’était attaché à Peter. Peter lui avait appris à ce battre à l’épée et à monter à cheval.

2ème chapitre : Un message de l’haut delà

- Père et moi étions partis à la chasse au cerf noir (le roi de la forêt). Nous avons dû nous séparer au croisement des chemins, là-bas. Il pointa du doigt le bout du chemin. Si nous rentrons au château de mon père, reprit-il, je pourrais lui envoyer un message.
- Mais avant, dit une petite voix, pourriez-vous nous amener à un point d’eau ?
Antonien regarda un à un Peter, Susan, Edmund et Lucie. Aucun d’entre eux n'avait parlé. En réalité, c’était Nicky, sa jument grise à taches blanches. « Quel imbécile, se dit-il, Nicky est une jument de Narnia, c’est bien normal qu’elle parle ! ».
Il les conduit au point d’eau "De La Sirène". Il connaissait bien les terres de son père et, cette source était bien la plus douce et fraîche du pays.
Pendant que les chevaux buvaient, Peter demanda à Antonien de le suivre, à part des autres pour lui parler.
- Tu sais, Antonien, commença t-il, que ton père veut que tu sois chevalier de Narnia. Je lui ai même fait la promesse de te faire moi-même chevalier. Il sourit.
- Moi, mais… Il fit une pause. Je ne pense pas être chevalier ou roi ! Non, je ne suis fait que pour être Antonien.
- J’ai fait la même remarque à Aslan quand j’ai su que je devais devenir Peter le magnifique. Il en riait à moitié.
Il y eut comme un bruit sourd (comme si un avion s’écrasait contre du métal) suivi d’un violent tremblement de terre. Par la secousse, les deux garçons furent projetés au sol. Peter cria :
- Qu'est ce qui se passe ?
- Je n'en ai pas la moindre idée ! cria Antonien pour se faire entendre.
- Il faut que nous allions voir si Edmund et les filles n'ont rien.
Tout se tût à ces paroles. Plus un bruit, pas un hennissement. De toute façon, ils avaient bien trop peur pour crier.
Peter partit en courant, suivi par Antonien. Ils craignaient tous les deux le pire. Arrivés sur place, il n’y avait plus aucun cheval. Edmund et les filles étaient à terre et ne bougeaient plus. Sans attendre et en même temps qu’une nouvelle secousse, Peter se rua sur le cor d’ivoire et sifflât.
- C’est inutile, cria Antonien, ce n’est sûrement qu’un tremblement de terre.
- Non, cria Peter, c’est de la magie !
- De toute façon, aucun aide ne nous sera apportée. Nous ne sommes pas à Narnia Peter, mais à Faxare !
Il eut un moment de silence, la terre avait fini de remuer mais le ciel se couvrait de nuages noirs menaçants. Au fond de lui, Antonien avait très peur.
Un bruit de galop retentit dans tout ce silence. Les deux garçons inquiets n’arrêtaient pas de demander « C’est quoi ? ». Même Peter, le grand roi de Narnia, avait peur et ne sut pas répondre à la question d'Antonien.
Soudain, apparut devant les garçons un centaure immense. La créature avait un corps d’humain jusqu'à la taille mais plus bas, son corps ressemblait à celui d’un cheval noir. Le centaure avait de longs cheveux et portait une armure.
- Vos Majestés, dit-il à l’attention des deux garçons.
- Oréus ! s’écria alors Peter, tu nous as fait peur.
- J’en suis désolé Majesté, dit-il en baissant les yeux.
- Tu n'as pas à être désolé. Tu as répondu à mon appel. A ces mots, Oréus, le centaure, prit son épée de la main droite et dit :
- Qui vous veut du mal ? Je suis à vos cotés jusqu'à la mort.
- Justement, dit timidement Antonien, nous ne le savons pas. Il y a eu un temblement, un bruit sourd, un autre tremblement, etc. Il n’eut pas le temps de terminer sa phrace su'une femme de fleurs apparut et dit :
- Je vous porte une grave nouvelle mon seigneur. Votre père a été tué par un chevalier du royaume Des Ombres.

3ème chapitre : Le retour d’Aslan

Dès qu'Antonien eut entendu les mots de la femme des fleurs, il sut qu’elle ne m’entendait pas. Il ne put se retenir. Il siffla trois fois (il siffla tellement mystérieusement que je ne peux vous le décrire) et un dragon, rouge foncé –presque noir- à crête jaune, vint se poser près de lui. Malgré les cris de Peter, de son frère ainsi que de ses sœurs qui venaient de se réveiller, il monta sur la tête du dragon. Aussitôt, ce dernier s’envola vers la montagne qui séparait Faxare de Narnia.
Sur les montagnes, le dragon se posa et Antonien mit pied à terre et lui fit signe de retourner chez lui.
Quand le dragon fut parti, il éclata en sanglots. Comment auriez-vous réagi à sa place si vous veniez d’apprendre la mort de votre cher père et que vous deviez le remplacer ? Comment auriez-vous réagi si vous saviez que des troupes du royaume des Ombres étaient sur vos terres ?
Quelque chose se posa délicatement sur l’épaule droite d’Antonien.
- Peter, que fais-tu ici ? grogna t-il.
Aucune réponse. Un frisson parcourut Antonien. Il se retourna et faillit crier de peur mais aucun son ne sortit de sa bouche. Cet animal, qui était un lion, lui semblait familier. Vous, vous auriez pris vos jambes à votre cou si vous aviez été devant un félin comme ce lion. Antonien, quant à lui, regarda le lion droit dans ses grands yeux.
Alors, une voix si merveilleuse, grave, dorée et pleine de sagesse (si merveilleuse que des mots ne peuvent la décrire) lui dit :
- Que fais- tu ici, ô seigneur de ces lieux ? Peter se fait du souci pour toi et moi, dit-il, je suis déçu de ton comportement.
- Qu'auriez-vous fait à ma place ? demanda Antonien d’une voix forte et pleine de colère.
- Je serais parti à la rencontre de ce « chevalier », dit-il avec un grognement.
- Vous ne seriez pas… Aslan ? demanda Antonien en baissant les yeux. Pour toute réponse, le magnifique lion inclina la tête.
- Mais… Le grand Aslan ne vient qu'en cas de grand besoin.
- Là, tu as besoin de moi, répondit-il. Tu vois toute cette étendue ? Il fixa son regard de ses grands yeux. C’est ton royaume. Tu devras régner en temps que grand roi comme Peter, sur Narnia.
Antonien ne répondit pas. Il savait que Aslan avait raison. Cependant, tout cela lui faisait peur en réalité : être roi, avoir une armée, des sujets,…
« Je ne suis fait que pour être moi » pensa t-il.
Un bruit de vol se fit entendre derrière lui. Il n’avait pas besoin de réfléchir pour savoir que c’était Peter qui était venu par le même moyen que lui : le dragon. Le dragon était très gentil et acceptait tous les passants. Ils attendirent que Peter mette pied à terre. Il avait certainement dû donner quelque chose à manger au dragon car on entendait ses machoires s'ouvrir et se refermer – Crouch ! Crouch ! …
- Tu es là ! Nous nous inquiétions ! hurla t-il.
Peter avait toujours été comme ça : très gentil, mais très protecteur au point de grogner. Antonien le considérait comme un grand frère. Peter venait de voir Aslan et s’inclina. Il attendit l’autorisation du « roi lion » pour se relever.
- Peter, dit Aslan, je crois que Faxare va entrer en guerre avec le Royaume Des Ombres. Il faudra que tu aides Antonien à préparer son armée.
- Mais, grogna Antonien, je ne veux pas faire la guerre !
- Tu y es obligé, répondit Peter.
S'en était trop, Antonien ne pouvait entendre quelque chose de plus. Il n'en revenait pas que Peter lui ait parlé sur ce ton et dit « tu y es obligé ».
« Il se prend pour qui ce petit roi de … de… », pensa intérieurement Antonien. Il lui aurait bien écrasé la tête, tant il était en colère. Mais, au fond de lui, il était mort de tristesse.

Suite dans la prochaine gazette ...

Cinéma, par Brownies

L'homme, c'est elle (She is the man.)

Gazette n°15 Poster

Résumé:

Viola, une adolescente, se fait passer pour son frère jumeau pour prendre sa place dans une école, où elle pourra perfectionner son football (soccer). Là, elle tombe amoureuse de son colocataire, Duke, et devient l'objet de l'affection de la séduisante Olivia, la fille dont Duke est amoureux depuis trois ans. Tout se complique quand son vrai frère, Sebastian, arrive finalement, un jour à l'avance, lors d'un match contre l'ancienne équipe de Viola, où l'équipe féminine avait été virée, et que l'équipe masculine avait refusé que les filles rentrent dans leur équipe.

Critique Personnelle:

J'ai beaucoup aimé ce film. L'histoire est bonne et originale. De plus, le jeu des acteurs et actrices est excellent. Dans le film, nous pouvons entendre deux chansons du groupe The All-american Rejects, soit Move Along et Dirty Little Secret. Ce film parle de soccer ; même si je ne suis pas trop sportive, j'ai aimé. De même, mon amie qui n'est pas non plus sportive la également aimé. Donc, pas besoin d'être sportif ou sportive pour aimer ce film, qui d'après moi mérite d'être vu. Le film est autant pour les gars que pour les filles. Donc, bon film !

Sport, par Mamouth2

Adam Malysz

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Nom : Malysz

Prénom : Adam

Pays représenté : Pologne

Date de Naissance : 03/12/1977

Lieu de Naissance : Wisla

Taille : 169 cm

Poids : 53.0 kg

Dimanche 7 janvier 2001, Bischofshoten (Autriche): le tenant de la Coupe du Monde des deux dernières saisons et double Champion du Monde, l'Allemand Martin Schmitt fait grise mine. En effet, lui qui espérait remporter la prestigieuse Tournée des Quatre Tremplins a vu ses plans perturbés par un jeune inconnu. Son nom: Adam Malysz.

Surnommé "Batman" ou "l'homme-oiseau", Adam Malysz a été le premier Polonais vainqueur de la prestigieuse Tournée des 4 Tremplins, en 2001. Cette année-là, il a aussi remporté la Coupe du monde, devant le Finlandais Janne Ahonen. La première d'une série de trois.
Malysz enlève sa première épreuve de Coupe du monde en mars 1996 à Oslo. L'hiver suivant, il confirme avec deux succès au Japon, à Sapporo et Hakuba. Ces succès étaient de bonne augure pour les JO de Nagano en 1998. Mais aux Jeux, le Polonais connaît une baisse de forme, qui durera jusqu'en 2000. Il termine 51e du tremplin normal et 52e du grand tremplin.

Il revient au premier plan en 1999-2000 avant son avènement lors de la Tournée des 4 Tremplins 2001, se classant quatrième à Oberstdorf, troisième à Garmisch-Partenkirchen et premier à Innsbruck et Bischofshofen.

Une véritable "Malyszmania" s'empare alors des Polonais. Ses supporteurs érigent à Wisla, sa ville natale, une statue grandeur nature en... chocolat blanc de leur idole. A lui la manne publicitaire...

Le secret de ses exploits sportifs est jalousement gardé par le "gourou" qui l'accompagne et son entraîneur de l'équipe nationale, Apoloniusz Tajner. On sait cependant qu'un psychologue et un médecin veillent constamment sur le sauteur, qui suit par ailleurs un régime alimentaire spécifique.

Image de la semaine, par P’tit-Loup

Gazette n°15 Crits7ju1

Site de la semaine, par P’tit-Loup

http://www.amourinet.com

Petit site amusant où vous pouvez calculer vos affinités amoureuses avec une personne. Il vous suffit de connaître son prénom, et le vôtre bien entendu !

Portrait de ma tante, par _Zoé_

Bonjour, je me nomme Marie-hélène Samson (_zoé_) et je vais vous présenter ma tante, Izabel Samson. Si je vous la présente, c’est parce que je l’admire beaucoup. Elle est enseignante à Lausanne, en Suisse mais aussi enseignante sans frontière au Sénégal. En 2006, elle a eu 34 ans et cela fait 4 ans maintenant qu’elle exerce cette profession.

L’idée de devenir enseignante sans frontière lui est venue pendant l'été de 2002, au marché de Nyon (Suisse). Là, il y avait un kiosque d’information sur cette profession. Elle a donc décidé de remplir un formulaire pour une entrevue qu’elle obtint un peu plus tard. En juillet 2002, pour la première fois, elle passa son été au Sénégal afin d'enseigner aux jeunes enfants très défavorisés.

Toutes ses vacances sont prises pour le Sénégal, elles sont divisées en trois semaines intensives avec 58 élèves par classe. Une semaine est consacrée pour les adultes pour discuter des horaires de cours, les 2 autres semaines étant réservées pour les élèves. Chaque soir, durant les 2 dernières semaines, les adultes se réunissent dans une hutte pour préparer la journée suivante. En 2006, les élèves ont entre 12 et 15 ans, mais sont en première, deuxième ou troisième année primaire ! Son bénévolat lui coûte très cher car elle doit payer ses billets d’avions mais elle dit récolter une plus grande richesse de son travail.

Maintenant, passons à la Suisse. Dans sa classe de Suisse, les élèves sont de nationalités différentes, en voici quelques exemples : Kosovars, Yougoslaves, Portugais, Afghans, Italiens, Zaïroises et même Suisses…Ouf ! Et il y en a d’autres ! Les élèves auxquels elle enseigne en Suisse ainsi qu'au Sénégal sont des enfants aux handicaps mentaux et aux troubles de comportement et de personnalité. Ses élèves ont un physique comme nous mais n’ont pas beaucoup de facilité dans l’école de base. Pour développer leurs qualités, elle fait un projet sur les métiers leurs permettant de réussir à obtenir un stage pour ceux de 12 et 15 ans. J'admire son dévouement pour tous ces enfants défavorisés.

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III Les coulisses de Monchval

Interview de Nikky 74, par Pinko

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Sur le Forum.

Pinko : Comment qualifies-tu le flood ? A t-il sa place sur le forum ?
Nikky 74 : Je qualifie le flood comme la Nutex, le Haras, qui marchait bien et qui ne gênait personne. Ou alors quand il y a un topic de délires qui ne gêne personne mais qui dérange les modos car on met de l'ambiance en floodant gentiment !

Pinko : Comment décrirais-tu l'ambiance actuelle ?
Nikky 74 : Je ne sais pas ! Je passe beaucoup moins de temps sur le forum qu'avant. Mis à part les topics de cœur et de fêter mes 10'000 messages, il n'y a pas grand chose de bien ! C'est plus pareil ...

Pinko : Que penses-tu des membres en général ?
Nikky 74 : Je les aime bien, à part les boulets qui se croient tout permis !!!

Pinko : Que penses-tu des modos et admins ?
Nikky 74 : Je les trouve sympas, mis à pars un ou deux qui font de l'abus intensif de pouvoirs *je rigole bien sûr*.

Pinko : Que penses-tu de la gazette ?
Nikky 74 : Je ne la lis jamais *ange*.

Pinko : Si tu pouvais changer quelque chose sur le forum, qu'est-ce que ce serait ?
Nikky 74 : Les smileys, remettre les anciens ainsi que les topics de flood !!!

Pinko : Que préfères-tu sur le forum ? Et qu'est-ce que tu aimes le moins ?
Nikky 74 : Je ne sais pas. J'aime le libre quand les anciens viennent dire bonjour ... C'est toujours sympa. Pour ce que j'aime le moins, il y a trop de choses pour être citées !

Pinko : Quel conseil donnerais-tu aux nouveaux membres ?
Nikky 74 : De ne pas trop jouer les boulets et de fuir pendant qu'il est encore temps ! Lol ...

Pinko : Depuis quand es-tu sur le forum ?
Nikky 74 : Depuis décembre 2004 environ !

Pinko : Quand tu n'es pas sur le forum, que fais-tu sur Internet ?
Nikky 74 : Je m'occupe de mon site Internet à moi qui me prend beaucoup de temps ainsi que les autres élevages virtuels auxquels je suis inscrite !

Pinko : Combien de temps y passes-tu par jour ?
Nikky 74 : 5 heures selon les journées... Je peux aller à 10 quand ça va bien. Sur le fofo, je ne sais plus ! 1 ou 2 heures... Ca a trop changé.

Pinko : Te sentirais-tu capable d'être modo ?
Nikky 74 : Oui, je le pense. Mais je doute d'en avoir le temps. Modo d'informatique, oui, vu le peu de monde qu'il y a dans cette rubrique ! Ptdr.

Pinko : Quels sont les meilleurs moments que tu as passés sur le forum ?
Nikky 74 : Les moments de la Nutex ainsi que la nuit du 25 au 26 avril 2006. La fête de mes 18 ans avec mes Youmelles... Et la fois où j'ai rencontré Hélène.

Pinko : Que penses-tu des pandas ?
Nikky 74 : Je les adore quand ils ne sont pas trop envahissants et quand ce sont de vraies attaques, pas les espèces d'images mal faites... A quand la prochaine ? *court se cacher*.

Sur le site.

Pinko : T'occupes-tu encore de tes chevaux ?
Nikky 74 : Cela dépend si j'en ai le temps, ce qui est plutôt rare.

Pinko : Depuis combien de temps es-tu inscrite sur Monchval ?
Nikky 74 : Depuis le 27 octobre 2004.

Pinko : Comment as-tu connu le site ?
Nikky 74 : Par une ancienne membre de mon site qui m'a envoyé l'adresse.

Pinko : Que préfères-tu sur le site ? Et qu'aimes-tu le moins ?
Nikky 74 : Au début, j'aimais bien mais maintenant, c'est lassant. Toujours la même chose ! A part acheter des chevaux, je ne fais rien d'autre.

Pinko : Comment trouves-tu le design ?
Nikky 74 : Bof... On ne nous a pas laissé le choix, donc on s'adapte ! Il faut faire avec.

Pinko : Vas-tu sur le Tchat ?
Nikky 74 : Non.

Pinko : As-tu lu l'aide/Présentation du site ?
Nikky 74 : Bien sûr ! Pas comme d'autres.

Dans la vraie vie.

Pinko : Comment t’appelles-tu ?
Nikky 74 : Caroline.

Pinko : Quel âge as-tu ?
Nikky 74 : 19 ans.

Pinko : Comment te décrirais-tu physiquement et moralement ?
Nikky 74 : Oula... Question trop difficile pour mon petit cerveau !

Pinko : Qu'aimes-tu et que n'aimes-tu pas en général ?
Nikky 74 : J'aime les chevaux, c'est toute ma vie... Je suis en train de voir pour faire une formation dans le milieu des chevaux. Ce que je n'aime pas, c'est trop de choses !

Pinko : As-tu un animal de compagnie ?
Nikky 74 : Si tu qualifies mon lapin bouffeur de doigt comme un animal, oui ! Sinon, c'est une créature non identifiée...

Pinko : Quels sont tes loisirs en dehors d'Internet ?
Nikky 74 : Les Scouts, la lecture et les sorties entre copines.

Pinko : Pourquoi as-tu choisi ce pseudo ?
Nikky 74 : Parce que c'est le nom de ma chienne qui nous a quitté il y a maintenant 5 ans. Et le 74, c'est mon département (Haute-Savoie).

Pinko : Un petit mot pour la fin ?
Nikky 74 : Merci pour cette interview ! Préviens-moi quand elle sort ...

Le fantôme de Monchval, par X-Fan

Le Fantôme de Monchval existe depuis bien avant l'an 0. C'était un sympathique modérateur de l'Empire Romain. Il modérait le forum de SuperCésar. Mais comment est-il mort ? Aussi exagéré et spectaculaire que cela puisse paraître, il est tout simplement mort d'ennui.

Après avoir erré sans but des milliers d'années, il a trouvé refuge dans le grenier de SuperChval, attendant patiemment que celui-ci mette son site en ligne. Lorsque SuperChval mit son site en ligne, le fantôme attendit qu'il ait le dos tourné et, s'emparant des contrôles d'admin du site, s'inséra sur le forum de Monchval et dans le site.

Bien entendu, SuperChval s'est vite rendu compte que son site était possédé mais aucun programmeur n'a osé, jusqu'à ce jour, essayer de déloger le fantôme des entrailles du site.

Puis, le fantôme, fatigué de tout ce remue ménage, s'endormit paisiblement au fond de la base de données. SuperChval décida de ne plus rien tenter en espérant qu'il dormirait éternellement. Mais voilà, rien n'est jamais sûr !

Une année passa, et puis deux. SuperChval et les autres en avaient oublié le fantôme, bien caché au fond de la base de données. Puis, ce jour tragique arriva, le 25 octobre 2005. Le fantôme émergea de son profond sommeil et eut une envie soudaine de s'amuser. Alors, à l'insu de SuperChval, il créa un compte sous le pseudonyme de X-Fan et commença à jouer tranquillement sur le site sans que personne ne s'en rende compte.

Mais bien vite, le fantôme se lassa du jeu et fut prit par une envie encore plus forte et plus terrible encore, terroriser les membres du site ! Plusieurs membres entendirent des MOUAHAHAHA lointains sortir de leur ordinateur sans jamais comprendre ce que c'était. Ils crurent à un bug et le signalèrent dans l'espoir d'obtenir un point de réputation, mais rien ne fut fait. SuperChval redoutait le pire et promit en secret 1000 points de réputation à celui qui arriverait à sortir le fantôme de son site. Mais personne ne se manifesta pour lui venir en aide.

Désespérée, Sab eut pourtant une idée qui sauva, selon la légende, le site de la perte totale. Elle proposa au Fantôme un poste de modérateur à l'essai pour la section Informatique sous certaines conditions. Elle s'engageait à lui donner ce privilège s'il arrêtait de terroriser les membres et, au contraire, s'engageait à les aider (car on le sait tous, ayant dormi au plus profond du site pendant aussi longtemps, il connaissait tout ou presque). Le fantôme accepta la proposition de Sab et le site fut sauvé de la catastrophe.

Maintenant, le fantôme, ou X-Fan si vous préférez, aide les membres du site de son mieux lorsqu'il est là. Il ne fait plus de mauvais coup et depuis ce jour, le plus gros problème de SuperChval est réglé (MERCI SABY).

Bien sûr, tout ceci n'est qu'une légende. SuperChval ne veut pas se prononcer sur cela et le fantôme, trop occupé à terroriser les membres, en a même oublié pourquoi il est là.

Une rumeur court aussi comme quoi les bugs du site seraient dus au fantôme qui courrait sur les lignes de code du site pour s'amuser et, parfois, s'encoublerait dans les lettres ce qui provoquerait des déplacements de lettres et donc des erreurs de syntaxe faisant planter le site.

Et bien sûr, pour ceux qui l'ont connu en modérateur de la section Informatique, Sab avait donné à son rang une couleur significative pour lui faire plaisir.

Texte écrit par X-Fan.
Merci à Shadome d'avoir corrigé le plus gros des fautes.
Salutations à tous les admins et modos.
Bisous à tous les journalistes de la Gazette.

MOUAHAHAHAH

Histoire de Monchval, par chloelippine

Voici l'histoire de monchval que j'ai contée à ma façon, selon ce que je pense. Pour ne pas donner de pseudos, à part SuperChval et Sab, je l'ai contée comme une histoire avec des chevaux.^^

En l'an 2004 de notre ère, en mai, naquit un beau petit poulain. Ce poulain s'appelait SuperChval, et il ne pensait pas qu'un jour, il serait le chef d'une grande communauté. Ce petit poulain grandit dans l'insouciance mais, un beau jour de juillet 2004, d'autres petits poulains naquirent. SuperChval avait beaucoup d'amis et était très respecté. Puis, de plus en plus de poulains naquirent, les anciens poulains devinrent des chevaux et SuperChval grandit au milieu d'eux.

Un jour, il devint le chef, son père étant trop vieux pour pouvoir continuer à gouverner la harde. Il trouva une compagne, Sab, une magnifique jument or dont le soleil semblait être l'icône. La harde grandissait de plus en plus... Puis, il y eut de violents combats contre SuperChval, d'autres chevaux voulaient être chef à leur tour. Mais notre petit poulain devenu fier étalon gagnait à chaque fois. Il dût quand même virer de la bande ses troubles-fête pour la sécurité de la horde et la sienne. Il y eut aussi d'autres nouveautés qui n'ont pas plu du tout. Depuis ce jour mémorable, rien n'était plus comme avant. Tous les amis de SuperChval l'aimaient moins, mais de nouveaux poulains le respectaient toujours comme avant. SuperChval restait le chef...

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IV Artistes en herbe

Poème, par P’tit-Loup

Y a des jours comme ça
Des jours où rien ne va
Où on veut tout quitter, tout lâcher
Où on perd la force d’avancer.

Ces jours-là, on est mélancolique
Parfois même nostalgique,
On repense à la journée
Jamais au futur, toujours au passé.

On se pose des questions, des pourquoi
Mais bien sûr aucune réponse on a
Puis, la journée se finit
Et le lendemain reprend la vie…

On retrouve les amis
On oublie un peu les soucis,
Et une fois le soir
Recommence le cauchemar…

Et l’on parle de boucle sans fin
Mais c’est faux !
Et l’on croit que la mort en est l’issue
Mais c’est faux !

Ce n’est pas la solution
Il y a meilleure conclusion.

Réfléchissez, réagissez
La mort, c’est l’abandon.
« Faut se battre, faut pas s’enfuir ».

Après tout, si le soleil ne brille pas sur vous, allumez la lumière…

¤by P’tit-Loup¤

Poème, par Mamouth2

La brume se lève sur la terre,
La licorne ouvre les yeux
Et vient réveiller les fleurs et le soleil.
La nuit tombe,
Licorne blanche se rendort,
Son travail est fait.
Licorne noire se réveille et salue la lune
De sa corne qui brille,
Elle galope et travaille pour l'enfer.
Mais la rosée du matin vient réveiller les petits qui pleurent.

Poème, par Zeneli

Plus j'étudie, plus j'apprends.
Plus j'apprends, plus je sais.
Plus je sais, plus j'oublie.
Plus j'oublie, moins je sais.
Conclusion : Pourquoi étudier ?

Plus il y a de gruyère, plus il y a de trous,
Plus il y a de trous, moins il y a de gruyère.
Conclusion : plus il y a de gruyère, moins il y a de gruyère.

Poème, par pouët!

Flamme d'amour

Je me souviens d'une forêt.
Il y avait, dans une clairière,
Un vieux chêne centenaire.

Dessous, deux êtres enlacés.
Tendrement, nous nous regardions,
Sans un mot, nous nous aimions.

Je me souviens de ce temps-là,
Où tu me serrais dans tes bras.

Tu as laissé dans ma bouche un goût sucré,
Dans mes yeux, une étincelle dorée,
Le jour où tu t'es éteint à jamais.

Dessin, par Erynn

La robe Louvet

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Les journalistes et correcteur remercient les membres qui ont participé à cette gazette et vous souhaitent à tous une très agréable lecture.