L'équipe des journalistes et des correcteurs est heureuse de vous présenter la quatrième gazette des écuries !Sommaire : (le nom des membres figures en bleu, celui des journalistes en vert)I Rubrique Equitation Races :>L'arabe par la_belle Discipline Equestre :>Le Hors Ball, par Bulle De Savon II Rubrique DiversAnimaux>Le requin blanc par P'tit Loup Recette>Le lapin confit aux haricots blancs par P'tit Loup Cinéma>Renaissance, par TchitalaAutre :
>Site de la semaine, par Bulle de Savon
>Image de la semaine, par III Les coulisses de Monchval>Petites annonces des membres Intervew >De Panaka à TchitalaI RUBRIQUE EQUITATION L’Arabe par la_belle 
L’Arabe peut être considéré, à juste titre, comme le plus beau de tous les chevaux; il est unique, tant par son caractère que par l’extrême élégance de ses formes. C’est la plus pure et la plus ancienne de toutes les races, la première dans l’Histoire à avoir fait l’objet d’un élevage sélectif très rigoureux.INFLUENCE
L’Arabe à été l’élément déterminant pour l’amélioration de toutes les races du monde. Il a joué un rôle essentiel dans la création du Pur-Sang Anglais qui le dépasse en taille et en vitesse, mais ne peut lui être comparé au niveau de la vigueur et la résistance.
HISTOIRE
Les origines de l’Arabe se perdent dans la nuit des temps. Des peintures rupestres découvertes dans la péninsule arabique attestent cependant qu’il existait déjà 3000 ans avant notre ère. Pour les tribus bédouines du désert qui domestiquèrent en premier ce "Buveur de vent", l’Arabe serait issu du croisement d’un étalon, Hoshaba, avec une jument, Baz, capturée au Yémen par bax, l’arrière arrière petit-fils de Noé. Il commença sa conquête du monde au 7ème siècle, avec l’invasion de tout le bassin méditerranéen par les Musulmans, lorsque les Bannières vertes de l’Islam, portées par les chevaux du désert, déferlèrent sur l’Espagne et l’Occident Chrétien.
TÊTE
La tête de l’Arabe est petite et fine, avec un front plat et un profil le plus souvent légèrement concave. Il a de larges naseaux, des yeux grands et expressifs, bien écartés, placés bien bas, des oreilles pointues et dressées. Une de ses caractéristiques principales, unique dans le monde équin, est la saillie en forme d’écusson qui s’étend entre les yeux, des oreilles à l’os nasal appelée jibbah.
Bout du nez : La peau du bout du nez et du menton effilé est très douce.
Crinière : La crinière et la queue sont longues, fournies et exceptionnellement soyeuses.
ENCOLURE
L'angle très ouvert où se rejoignent la tête et le cou (appelé Mitbah) est un trait spécifique de l’Arabe. Son encolure particulière, allongée et bien arquée, lui permet de tourner librement la tête dans toutes les directions.
GARROT
Le garrot est détaché et bien saillant. Les épaules obliques sont longues et fortement musclées.
ENDURANCE
L’Arabe moderne est un excellent cheval de raid ou de randonnée, mais peut être surclassé par les autres races de sang dans certaines disciplines telles que le saut d’obstacles. Excellent reproducteur, élevé dans les haras du monde entier, il reste très demandé aujourd’hui encore pour fonder ou améliorer d’autres races.
CORPS
L’Arabe à un dos court, légèrement concave, des reins courts et larges, une croupe ample et horizontale.
SQUELETTE
La Morphologie de l’Arabe est déterminée par son squelette, différent de celui des autres races. Celui-ci compte 17 vertèbres dorsales au lieu de 18, 5 vertèbres lombaires au lieu de 6 et 16 vertèbres coccygiennes.
ROBE
La robe de l’arabe est grise, alezane, baie et plus rarement noire.
TAILLE
La hauteur au garrot idéale d’un Arabe se situe entre 1,42 m et 1,50 m
MARENGO
Cette eau-forte représente Napoléon 1er sur son cheval de bataille favori, Marengo, qu’il monta notamment à Waterloo en 1815. Napoléon n’aimait que les chevaux gris et avait une écurie personnelle d'Arabes à la robe grise. Il encouragea l’élevage des Arabes dans les Haras Nationaux français .
QUEUE
La queue est attachée haut sur la croupe. En mouvement, elle est portée haut, arquée avec élégance.
MEMBRES
Les membres sont bien musclés, avec des tendons secs et détachés, des canons antérieurs et des paturons courts, des pieds petits et très durs (exceptionnellement résistants). Ses postérieurs délicats ont longtemps été l'une des faiblesses de l’Arabe, mais qui ne diminuait en rien la robustesse et la rapidité de la race.
LE HORSE-BALL par Bulle-De-Savon
Des accélérations rapides, des arrêts presque instantanés, des lancers spectaculaires... Le Horse-Ball, c'est un peu comme du basket à cheval!Les règles du jeuLe terrain de Horse-Ball mesure 25m X 65m (en général). A chaque extrémité se dresse un but circulaire de 1m de diamètre, qui comporte un filet fixé à 3,50m de hauteur. Chaque équipe est composée de 4 joueurs qui, tour à tour, se penchent pour ramasser à terre une balle équipée d'anses qu'il faut aller placer dans le panier adverse, sans garder la balle plus de dix secondes. Lancés au galop, les cavaliers d'une même équipe se font des passes tandis que les joueurs du camp opposé essayent de bloquer les attaquants et tentent de récupérer la balle. Pour tirer, ils doivent s'arrêter sur une ligne de pénalité placée à 10 ou 5m du but. Chaque partie est divisée en deux périodes de 10 minutes, séparées par une mi-temps de 3 minutes. L'équipe qui marque le plus de buts gagne le match, réglementé par deux arbitres, l’un à pied, l'autre à cheval. Les mauvais traitements infligés aux chevaux, sur le terrain et en dehors, sont interdits et peuvent entraîner des pénalités.Une assiette à toute épreuve!Le Horse-Ball demande au cavalier de sacrés qualités. Côté mental : l'esprit d'équipe, de l'entrain, du courage, le sang-froid. Côté physique: de l'équilibre, de la souplesse et de l'énergie. La précision et l'adresse sont indispensables. Les joueurs de compétition sont des cavaliers qui possèdent une assiette à toute épreuve. Mais ce sport est aussi ouvert aux débutants. Les clubs font souvent pratiquer le Horse-Ball à titre de mise en selle. Le moniteur fait preuve de tact pour former des couples : il associe tel cheval à tel cavalier en fonction de leurs capacités et de leur caractère. On ne peut pas jouer correctement si l'on ne fait pas équipe avec son cheval![color:e209=blue:e209]II RUBRIQUE DIVERS Le Grand Requin Blanc
Répartition : Eaux tempérées et tropicales, occasionnellement eaux froides.
Statut : à l’état sauvage, confronté à un risque d’extinction élevé à moyen terme.
Longueur : 6 à 8 mètres
Poids : 2 tonnes voire plus
Reproduction : Vivipare
Son mode de vie :On attribue au grand requin blanc plus d’attaques contre l’homme qu’à tout autre requin. Cependant, différentes études montrent que la plupart de ses victimes ont survécu. Cet excellent nageur erre soit à la surface de l’eau, soit juste au-dessous, couvrant très rapidement de grandes distances. Il excelle dans les poursuites rapides et brèves et peut accomplir des bonds spectaculaires hors de l’eau.
Généralement solitaires, ils se rassemblent en couple ou en petits groupes pour se nourrir d’une carcasse de baleine ou d'un autre animal mort, les individus les plus gros ayant la priorité. A cette occasion, ils exécutent différentes nages pour montrer leur domination au sein du groupe. Le grand requin blanc s’attaque à une grande variété de proies : phoques, lions de mer, dauphins et gros poissons, et même autres requins. Il approche sa proie, la mord, puis s’en éloigne. Lorsque sa victime est suffisamment affaiblie, il l’achève et la dévore.
De taille supérieur aux mâles, les femelles donnent naissance à de 4 à 14 jeunes d’environ 1,20 mètre de long. Les embryons se nourrissent des œufs non fécondés et même d’autres embryons.
Cette espèce est désormais protégée dans certaines régions du monde, mais, très prisée pour la pêche sportive, elle voit sa population décroître rapidement.
Rapide nageur :
Le grand requin blanc progresse rapidement dans l’eau grâce aux battements latéraux de sa queue. Ses nageoires pectorales fixes l’empêchent de piquer du nez, et sa grande nageoire dorsale contribue à sa stabilité.
Armes terrifiantes :
Armé de ses grandes dents triangulaires disposées en dents de scie, le grand requin blanc est parfaitement équipé pour déchirer la chair de ses proies.
On l’a vu parfois nager avec sa denture découverte, une façon d’éloigner des concurrents d’une même source de nourriture ou d’empêcher que des requins rivaux ne s’introduisent dans son propre espace.
Le grand « Mangeur d’Hommes » :Si le requin blanc est parfois surnommé « mangeur d’hommes », c’est en partie à cause des articles qui ont suivi la sortie du film ‘‘Les dents de la mer’’. Selon les données de l’
International Shark Attack File, on lui attribue ‘‘seulement’’ 311 décès humains depuis que l’on dénombre celui-ci.
Sam 1 Juil - 16:20
